UEG Holland satisfait de l'avis du Conseil supérieur de la santé

Récemment, 7 ans après la dernière mise à jour, le Conseil supérieur de la santé a publié un nouveau rapport sur l'état des connaissances concernant la cigarette électronique. Le rapport indique que, bien que le vapotage présente des risques, il est clairement moins nocif que la cigarette classique. Le Conseil considère donc que l'e-cigarette peut être une aide au sevrage tabagique total mais qu'elle reste déconseillée aux non-fumeurs et en particulier aux jeunes.
E-cigarette = aide au sevrage tabagique
Pour beaucoup (scientifiques, utilisateurs, voire politiciens), il n'y a rien de nouveau sous le soleil. Ce qui est unique et important, cependant, c'est qu'un organisme unique ayant une influence particulièrement forte sur l'élaboration des politiques dans notre pays arrive à cette conclusion d'encourager l'utilisation de l'e-cigarette pour les fumeurs de cigarettes. Joey Baart, responsable du marketing chez le fournisseur UEG Holland, répond avec enthousiasme : "Quel est le problème ? Le problème est que les fumeurs de cigarettes ont besoin d'être aidés pour arrêter le tabagisme standard. L'e-cigarette peut y contribuer. Aux Pays-Bas, le gouvernement réagit de manière totalement opposée, puisqu'il est sur le point d'interdire les arômes. Nous allons utiliser votre document pour démontrer à notre propre conseil de santé qu'il est inutile de réglementer davantage ce produit. La législation actuelle est suffisante pour aider les gens à arrêter de fumer. Notre gouvernement pense que l'e-cigarette est peut être encore plus nocive que la cigarette classique, et qu'il faut donc introduire encore plus de réglementation. La plus haute autorité sanitaire de Belgique dit le contraire, affirmant noir sur blanc que l'e-cigarette peut aider les fumeurs à arrêter de fumer. Il s'agit d'une déclaration très importante, qui pourrait avoir un impact considérable sur les décisions prises dans toute l'Europe. En effet, alors que la Belgique a toujours été à la traîne des Pays-Bas dans l'introduction de nouvelles législations sur les cigarettes et les e-cigarettes, elle joue désormais les premiers rôles. Et pas seulement par rapport aux Pays-Bas, mais par rapport à plusieurs pays européens."

arômes
"Beaucoup d'entrepreneurs belges craignaient par le passé qu'une décision néerlandaise ne rejaillisse un jour sur la Belgique", poursuit Joey. "Cela pourrait être complètement différent maintenant. Nous allons maintenant présenter ces recherches approfondies menées par le Conseil supérieur de la santé de Belgique, via l'e-Sig Bond néerlandais, aux décideurs politiques de notre pays. Ils pensent toujours que les arômes inciteront les jeunes à acheter une e-cigarette, et même qu'ils passeront plus tard à la cigarette classique. Cette théorie (l'effet passerelle) a déjà été réfutée par plusieurs professeurs. Au Canada et en Australie, ils ont découvert entre-temps que cette politique ne fonctionne pas. En outre, aux Pays-Bas, on ne veut autoriser que les arômes de tabac composés de 16 ingrédients très différents. Cela signifie que tous les produits qui font actuellement partie de la gamme ne peuvent plus être vendus, même les arômes de tabac actuels (imaginez : les ingrédients 1 et 2 sont autorisés dans un arôme de tabac classique, alors qu'aujourd'hui il contient les ingrédients 1, 2 et 3). La probabilité que les gens reviennent aux cigarettes classiques a donc considérablement augmenté."

Pour être clair, le Conseil Supérieur de la Santé de Belgique déclare également ce qui suit : Pour les non-fumeurs et les jeunes en particulier, notre conseil est clair : ne commencez pas ! Tous les acteurs du marché de l'e-cigarette sont d'accord sur ce point. Le produit est là pour aider les fumeurs de cigarettes à se déarrasser de la cigarette, rien de plus !

